Beaucoup d’objets, témoins du riche passé de Geudertheim, sont pieusement conservés dans les familles. L’idéal serait de pouvoir les exposer, mais installer un musée à demeure est difficile, pour de nombreuses raisons. Internet offre néanmoins une opportunité idéale pour les faire connaître. C’est dans ce but que le site officiel de la commune de Geudertheim abrite un "musée virtuel", auquel tous les habitants sont invités à participer.
Les trouvailles archéologiques fortuites sont rares à Geudertheim. Cette lame de poignard, du type "poignard à rivets" est sans doute une des preuves actuelles les plus anciennes de l’occupation du site de la commune.
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Cette grosse pierre en grès présentait un aspect a priori anodin lorsqu’elle a été découverte à la fin des années 1980 par un agriculteur de Geudertheim. En la retournant, il constata qu’elle portait une croix particulière, dite "croix recroisetée".
Cette photo est exceptionnelle à plusieurs titres. D’abord en raison de son âge, puisqu’elle figure dans un album daté de 1867. Ensuite en raison de la nature même de cet album, qui contient les photographies des officiers du 2e Régiment de Dragons à cette époque. Et puis surtout, elle représente Odon de Schauenburg, alors lieutenant au sein de ce régiment.
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Louis Friedrich (1901-1985), dit Grasser’s Louis, ancien maréchal-ferrant du village, possédait un ouvrage édité en 1881, Der Illustrirte Hausthierarzt (sic), transmis par son père Charles Friedrich (1861-1939).
Cette petite montre de femme, d’un diamètre de 35 mm, recèle une énigme : vendue en 2012 sur un site d’enchères bien connu, elle porte à l’intérieur le nom "Karoline Schuster in Geudertheim", avec la date 1910 et autour une mention en allemand signifiant : "Ministère impérial pour l’Alsace Lorraine".
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Ce casque de pompier en cuivre, complet avec sa garniture intérieure, est un modèle 1895 français. Sa plaque – du modèle le plus fréquent car représentant une grenade – est nickelée, ce qui signifie que ce casque appartenait à un sous-officier.
